A 8 km au nord de zagora, la kasbah de tissergate est en réfection. elle abrite un intéressant musée dont s'occupe avec passion m. boujenah.

Le volcan fume, tousse et crache toujours, tandis qu'un bateau nous emmène à l'ouest de l'île pour assister aux éruptions en gerbe dans la nuit qui tombe.

Dans la mellah de zagora, l'ancien quartier juif avec sa petite synagogue ( dia 5 ), d'étranges mannequins montent la garde à l'entrée d'une sorte d'entrepôt où l'on trouve de tout, beaucoup de ces objets renvoyant à l'artisanat que produisaient ici les juifs: chandeliers à 7 branches, travail de l'ivoire, de l'argent pour les bijoux, porte

A la sortie de mhamid, la route s'arrête, impossible d'aller plus loin avec une voiture de tourisme, c'est un bout du monde pour l'européen moyen: il n'y a plus rien... désormais, pour continuer il faut un dromadaire ou un 4x4

De belles échappées qui culminent à plus de 4100 m et un monde à part.

En pleine ville, un marché hebdomadaire coloré.

Du côté de la vieille ville, une association de femmes fabrique et vend les tapis créés par elles-mêmes. l'autre source de revenus, c'est le safran. le coin où l'eau est rare depuis plusieurs années a encore beaucoup de charme

Peu à peu, les végétaux se raréfient, aucune piste n'est tracée, on arrive dans le désert, une sensation toute particulière. la ligne gris-bleu à l'horizon, c'est l'algérie.

Les mannequins datant du milieu du xxème siècle montent une garde tranquille dans cet immense magasin ( voir 1 ) où subsistent les traces de l'artisanat juif: chandeliers, étoiles de david etc. la plupart des juifs ont quitté le maroc au début des années 1960.

A 25 km au sud de ouarzazate, un européen ne voit rien, si ce n'est un plateau rocailleux semi-désertique. pourtant, au bout d'une route entretenue, on découvre l'oasis de fint d'où partent de nombreux chemins de randonnée. un très beau lieu.