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William Wyler : biographie

Monument de l’âge d’or d’Hollywood, William Wyler est aujourd’hui encore le réalisateur le plus nominé de l’histoire des Oscars, avec douze nominations, trois victoires, et autant d’autres récompenses. Des "Plus belles années de notre vie" à "La rumeur", en passant par "Ben-Hur" et "Vacances romaines", retour sur une carrière mythique.

Premiers pas prolifiques

Né Wilhelm Weiller le 1er juillet 1902, à Mulhouse, en Alsace, le futur réalisateur connaît une enfance turbulente, et échappe à un avenir peu plaisant lorsque, grâce à Carl Laemmle, créateur d’Universal Pictures et cousin de la famille Wyler, William part dès 1921 pour New York pour devenir livreur pour Universal.
En 1923, il rejoint Los Angeles en tant que technicien, puis apprenti monteur, un poste auquel il n’aspire pas vraiment.
En 1925, il devient le réalisateur le plus jeune du studio, perfectionniste, enchaînant d’innombrables westerns (près d’une trentaine entre 1925 et 1928).
Pendant les années trente, il se diversifie un peu et se fait remarquer, décrochant plusieurs nominations aux Oscars pour Dodsworth (1936) et Les Hauts de Hurlevent (1939) dans lequel il dirige Laurence Olivier. Un Olivier qui, comme beaucoup d’autres acteurs hollywoodiens (Streisand, Heston, Davis, Hepburn), doit par ailleurs ses nominations aux Oscars au travail de Wyler, directeur d’acteur exceptionnel, et reconnu de tous.

Succès incontesté

Après deux autres nominations aux Oscars au début des années 40, Wyler remporte enfin la statuette en 1942, pour Madame Miniver, puis, après trois années passées au front, il gagne un nouvel Oscar pour Les plus belles années de notre vie (1946), chronique vécue du retour difficile à la vie civile des vétérans après la guerre.
En 1953, Wyler réalise Vacances Romaines, et fait découvrir Audrey Hepburn à l’Amérique. Puis, en 1956, c’est au tour de la Loi du Seigneur de décrocher les nominations et récompenses, bientôt suivie par le péplum épique Ben-Hur (1959) et ses onze Oscars.

Fin de carrière

À l’arrivée des années 60, le réalisateur se fait plus rare. En 1961, dans La rumeur, Wyler dirige à nouveau Hepburn, qu’il retrouve ensuite dans Comment voler un million de dollars (1966), puis il met en scène Terence Stamp dans L’obsédé (1965), Streisand dans Funny Girl (1968), et il conclut sa carrière par On n’achète pas le silence (1970), à la réception mitigée. Légende du grand écran, William Wyler s’est éteint d’une crise cardiaque le 24 juillet 1981, laissant derrière lui son épouse et leur cinq enfants.

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